Déchirures, gribouillis, pages cornées, couverture arrachée, post-it,… : ce sont les preuves d’amour les plus visibles pour nos livres préférées. Ces stigmates d’un temps passé dans nos sacs, sur la plage, dans un endroit venteux, dans une valise sont autant de preuves de notre histoire personnelle avec le livre. Et c’est pour cette raison que bien qu’abimé, nous remettons le livre sur nos étagères pour mieux le relire plus tard. Et cette histoire est d’autant plus vraie pour les classiques qui ont forgé notre éducation littéraire.

Penguin Classics a décliné cet insight pour sa nouvelle campagne Happy Reading en mettant en avant des livres retrouvés dans les bibliothèques de lecteurs anonymes ou connus comme l’artiste britannique David Gentleman, la poétesse, dramaturge et rappeuse anglaise Kate Tempest ou le physicien italien Carlo Rovelli.

Pour sélectionner les livres mis en avant, Penguin Classics a lancé un concours sur les réseaux (Facebook, Instagram et Twitter) : quel impact a eu sur votre vie votre Penguin Classic préféré ? en invitant les lecteurs à partager une photo de leur livre « qui a le plus vécu » avec #HappyReading et en le commentant.

La campagne a été déclinée en affichage dans le métro londonien et sur les réseaux.

Cette campagne nous rappelle que les livres sont faits pour être lus. Quelle plus belle preuve de lecture (et quelle plus belle recommandation) que le visuel d’un livre qui a une histoire ! On aime chez Jem. Et ça nous change des mises en scène de livres formatées et toutes identiques sur Instagram…

Notons qu’en mars 2019, Penguin Classics avait déjà fait un beau coup marketing en inaugurant un pop-up store « Happy Reading » à Londres pour célébrer les livres qui ont eu un impact dans nos vies. Le pop-up store proposait un unique exemplaire des 1 257 livres de la fameuse Penguin Classics list. Pendant un mois, la marque y a également organisé des événements et des ateliers.